Imprimerie Jules Bailly \/ Auguste Vaubert de Dour<\/h2>\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t![\"Imprimerie](\"https:\/\/www.douretsafollehistoire.be\/wp-content\/uploads\/2019\/06\/Imprimerie-Jules-Bailly-Auguste-Vaubert-de-Dour.png\")
\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\tImage issue de\u00a0:<\/u><\/strong> \u00ab\u00a0Imprimerie Jules Bailly\u00a0\u00bb, dans JOURET, Alain, Dour<\/em>, Bruxelles\u00a0: Alan Sutton, 1999, p. 58, coll. M\u00e9moire en images.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t![\"Journal](\"https:\/\/www.douretsafollehistoire.be\/wp-content\/uploads\/2019\/06\/Journal-LEquitable-de-Dour.png\")
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\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\tImage issue de\u00a0:<\/u><\/strong> \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0: journal cr\u00e9\u00e9 par Jules Bailly et repris par Auguste Vaubert\u00a0\u00bb, dans JOURET, Alain, \u00ab\u00a0La gr\u00e8ve des ouvriers typographes chez Auguste Vaubert (1896)\u00a0: contribution \u00e0 l\u2019histoire de la presse douroise de 1854 \u00e0 1914\u00a0\u00bb, dans Annales du cercle d\u2019histoire et d\u2019arch\u00e9ologie de Saint-Ghislain et de la r\u00e9gion<\/em>, III, 1982, p. 516.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\tHistorique et \u00e9volution :<\/u><\/strong><\/span><\/p>Dans le courant du XIXe si\u00e8cle, l\u2019industrie typographique s\u2019implante dans de nombreuses communes autour de Mons. Dans ce contexte, Dour voit \u00e9galement s\u2019\u00e9tablir sur son territoire des ateliers d\u2019imprimeurs en 1848, situ\u00e9s \u00e0 la rue Pairois, gr\u00e2ce \u00e0 Jules Bailly. En effet, cet imprimeur est le cr\u00e9ateur, en 1854, du journal hebdomadaire \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb, premier journal dourois. Ce dernier propose une chronique locale reprenant les nouvelles et les faits divers. Il aborde aussi des questions politiques, \u00e9conomiques, etc<\/em>. Par ailleurs, il donne \u00e9galement la parole aux lecteurs en publiant leurs courriers et il met en \u00e9vidence certaines annonces notariales et publicitaires tout en donnant des indications sur les horaires des chemins-de-fer, le prix du grain et l\u2019\u00e9tat civil de Dour. De plus, ce journal propose des jeux d\u2019esprits et des feuilletons. Toutefois, il convient de souligner que \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb cesse de para\u00eetre en juin 1854.<\/p>Cependant, Jules Bailly ne s\u2019arr\u00eate pas l\u00e0. En effet, le 1er<\/sup> janvier 1865, il lance \u00e0 nouveau une petite feuille sous le nom de \u00ab\u00a0Tom Pouce, Journal politique et administratif du Canton de Dour\u00a0\u00bb. Cette feuille sera, au d\u00e9part, publi\u00e9e une fois par mois avant de conna\u00eetre une fr\u00e9quence plus importante. Elle se veut ind\u00e9pendante et lib\u00e9rale en s\u2019inscrivant dans la lign\u00e9e de \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb. Ainsi, elle s\u2019int\u00e9resse particuli\u00e8rement aux faits locaux en lien avec Dour et la r\u00e9gion. Le 3 novembre 1867, Jules Bailly sort le dernier num\u00e9ro de cette feuille. En effet, celle-ci cesse de para\u00eetre en raison de la cr\u00e9ation d\u2019un journal plus important, hebdomadaire et paraissant le dimanche\u00a0: \u00ab\u00a0La Libert\u00e9. Journal du couchant de Mons\u00a0\u00bb. Ce dernier, cr\u00e9\u00e9 \u00e9galement par Jules Bailly, affichait les couleurs politiques du lib\u00e9ralisme constitutionnel radical et avait pour fonction de combattre les injustices envers la classe ouvri\u00e8re. Par ailleurs, il convient d\u2019indiquer que ce journal cesse de para\u00eetre sous le nom \u00ab\u00a0La Libert\u00e9\u00a0\u00bb en janvier 1872, pour devenir \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0\u00bb.<\/p>Par la suite, Jules Bailly confie la direction de son entreprise \u00e0 Auguste Vaubert. Dans ce contexte, malgr\u00e9 le changement d\u2019imprimeur et d\u2019\u00e9diteur, \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0\u00bb restera sur ses positions politiques jusqu\u2019\u00e0 la mort de son fondateur. En effet, par la suite, ce journal adoptera des couleurs politiques plus neutres afin de s\u2019attirer une nouvelle client\u00e8le. Cependant, il est \u00e0 noter que cette nouvelle position politique ne fut pas appr\u00e9ci\u00e9e par tout le monde si bien que certaines personnes commenc\u00e8rent \u00e0 dire que le journal \u00e9tait soudoy\u00e9 par le parti catholique. Or, seul le journal fond\u00e9 par Amand Bauduin, \u00ab\u00a0L\u2019Echo du Canton de Dour\u00a0\u00bb, pouvait \u00eatre associ\u00e9 \u00e0 cette dimension politique \u00e0 cette \u00e9poque.<\/p>
Par ailleurs, Auguste Vaubert assura l\u2019impression de plusieurs journaux et revues parmi ceux-ci on peut notamment citer, par exemple, \u00ab\u00a0Le Borinage Central\u00a0\u00bb, \u00ab\u00a0Le Libre Journal\u00a0\u00bb et \u00ab\u00a0Le Bulletin officiel de la F\u00e9d\u00e9ration m\u00e9dicale belge\u00a0\u00bb. Par la suite, Auguste Vaubert travailla \u00e9galement pour des \u00e9diteurs \u00e9trangers et il se verra confier des impressions \u00e0 destination des particuliers mais \u00e9galement l\u2019impression des \u00ab\u00a0Rapports sur l\u2019administration et la situation de la commune\u00a0\u00bb par la Commune de Dour.<\/p>
Toutefois, soucieux d\u2019am\u00e9liorer l\u2019organisation et le fonctionnement de son imprimerie typographique afin de la rendre plus performante et comp\u00e9titive sur le march\u00e9, Auguste Vaubert d\u00e9cida d\u2019introduire non seulement le travail \u00e0 la pi\u00e8ce, mais aussi la main-d\u2019\u0153uvre f\u00e9minine. Cela provoqua deux gr\u00e8ves successives parmi les compositeurs typographes qu\u2019il employait. En effet, en juillet 1896, l\u2019introduction du travail \u00e0 la pi\u00e8ce et l\u2019instabilit\u00e9 des salaires qui lui \u00e9tait li\u00e9e provoqua une gr\u00e8ve dont les revendications ouvri\u00e8res bas\u00e9es sur une r\u00e9duction du nombre d\u2019heures de travail et une augmentation des salaires, \u00e9taient soutenues, d\u2019une part, par l\u2019Association typographique de Mons et des environs, et d\u2019autre part, par la F\u00e9d\u00e9ration typographique belge. Cette gr\u00e8ve poussa Vaubert \u00e0 ceder deux jours plus tard. En effet, ce dernier abandonna ce nouveau syst\u00e8me et il r\u00e9duisit le temps de travail journalier d\u2019une demi-heure tout en augmentant les salaires de 50 centimes. Cependant, par la suite, l\u2019imprimerie acquit de nouveaux mat\u00e9riels ce qui poussa Vaubert \u00e0 engager de la main-d\u2019\u0153uvre f\u00e9minine. Cela eut pour cons\u00e9quence que les ouvriers, craignant que leur propre salaire diminue, demand\u00e8rent \u00e0 Vaubert le renvoi de ces ouvri\u00e8res. Ce dernier ne c\u00e9da pas et le 10 ao\u00fbt 1896, les ouvriers repartirent en gr\u00e8ve. Toutefois, contrairement \u00e0 la gr\u00e8ve pr\u00e9c\u00e9dente, celle-ci ne d\u00e9boucha sur aucun accord entre les parties concern\u00e9es si bien que cela amena \u00e0 la cr\u00e9ation d\u2019un nouveau journal \u00e0 Dour \u00ab\u00a0L\u2019ind\u00e9pendant\u00a0\u00bb, le 24 octobre 1896, par un ouvrier, D\u00e9sir\u00e9 Chevalier, et ce afin de procurer du travail aux gr\u00e9vistes.<\/p>
Ainsi, les \u00e9tablissements Bailly-Vaubert devinrent, par la suite, les assurances \u00ab\u00a0La Royale Belge\u00a0\u00bb.<\/p>
Dans le cadre de l\u2019industrie typographique locale, il est int\u00e9ressant d\u2019indiquer qu\u2019il existe d\u2019autres journaux dourois parmi lesquels on peut citer\u00a0:<\/p>
- \u00ab\u00a0L\u2019information du pays dourois\u00a0\u00bb dont la biblioth\u00e8que dispose de nombreux num\u00e9ros<\/li>
- \u00ab\u00a0L\u2019animation\u00a0\u00bb qui existe depuis 1937 et dont voici l\u2019adresse URL\u00a0: http:\/\/www.lanimation.be\/pages\/012\/Accueil.fr.php<\/a><\/li>
- \u00ab\u00a0Dour Infos\u00a0\u00bb qui est le journal communal et dont voici l\u2019adresse URL\u00a0: https:\/\/www.communedour.be\/ma-commune\/services-communaux\/communication-tourisme\/presse<\/a><\/li><\/ul>
Ligne du temps\u00a0: <\/u><\/strong><\/span><\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t1848\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t1848\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/h3>Cr\u00e9ation de l'imprimerie Jules Bailly<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t1854\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t1854\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/h3>- Publication du journal \"L'\u00e9quitable\"<\/strong><\/span><\/li>
- Ce journal cesse de para\u00eetre en juin<\/span><\/strong><\/li><\/ul><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t1er janvier 1865\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t1er janvier 1865\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t
<\/h3>Lancement de la feuille \"Tom Pouce, Journal politique et administratif du Canton de Dour\"<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t3 novembre 1867\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t3 novembre 1867\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/h3>- Parution du dernier num\u00e9ro de cette feuille<\/strong><\/span><\/li>
- Cr\u00e9ation du journal \"La Libert\u00e9. Journal du couchant de Mons\"<\/strong><\/span><\/li><\/ul><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t1872\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t1872\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t
<\/h3>Le journal \"La Libert\u00e9. Journal du couchant de Mons\" devient \"L'Indicateur\"<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\tAnn\u00e9es 1880\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\tAnn\u00e9es 1880\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/h3>Jules Bailly confie la direction de son entreprise \u00e0 Auguste Vaubert<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t1896\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/i>\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t
\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\tImage issue de\u00a0:<\/u><\/strong> \u00ab\u00a0Imprimerie Jules Bailly\u00a0\u00bb, dans JOURET, Alain, Dour<\/em>, Bruxelles\u00a0: Alan Sutton, 1999, p. 58, coll. M\u00e9moire en images.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t Image issue de\u00a0:<\/u><\/strong> \u00ab\u00a0L\u2019Equitable\u00a0: journal cr\u00e9\u00e9 par Jules Bailly\u00a0\u00bb, dans JOURET, Alain, \u00ab\u00a0La gr\u00e8ve des ouvriers typographes chez Auguste Vaubert (1896)\u00a0: contribution \u00e0 l\u2019histoire de la presse douroise de 1854 \u00e0 1914\u00a0\u00bb, dans Annales du cercle d\u2019histoire et d\u2019arch\u00e9ologie de Saint-Ghislain et de la r\u00e9gion<\/em>, III, 1982, p. 514.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t Image issue de\u00a0:<\/u><\/strong> \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0: journal cr\u00e9\u00e9 par Jules Bailly et repris par Auguste Vaubert\u00a0\u00bb, dans JOURET, Alain, \u00ab\u00a0La gr\u00e8ve des ouvriers typographes chez Auguste Vaubert (1896)\u00a0: contribution \u00e0 l\u2019histoire de la presse douroise de 1854 \u00e0 1914\u00a0\u00bb, dans Annales du cercle d\u2019histoire et d\u2019arch\u00e9ologie de Saint-Ghislain et de la r\u00e9gion<\/em>, III, 1982, p. 516.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t Historique et \u00e9volution :<\/u><\/strong><\/span><\/p> Dans le courant du XIXe si\u00e8cle, l\u2019industrie typographique s\u2019implante dans de nombreuses communes autour de Mons. Dans ce contexte, Dour voit \u00e9galement s\u2019\u00e9tablir sur son territoire des ateliers d\u2019imprimeurs en 1848, situ\u00e9s \u00e0 la rue Pairois, gr\u00e2ce \u00e0 Jules Bailly. En effet, cet imprimeur est le cr\u00e9ateur, en 1854, du journal hebdomadaire \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb, premier journal dourois. Ce dernier propose une chronique locale reprenant les nouvelles et les faits divers. Il aborde aussi des questions politiques, \u00e9conomiques, etc<\/em>. Par ailleurs, il donne \u00e9galement la parole aux lecteurs en publiant leurs courriers et il met en \u00e9vidence certaines annonces notariales et publicitaires tout en donnant des indications sur les horaires des chemins-de-fer, le prix du grain et l\u2019\u00e9tat civil de Dour. De plus, ce journal propose des jeux d\u2019esprits et des feuilletons. Toutefois, il convient de souligner que \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb cesse de para\u00eetre en juin 1854.<\/p> Cependant, Jules Bailly ne s\u2019arr\u00eate pas l\u00e0. En effet, le 1er<\/sup> janvier 1865, il lance \u00e0 nouveau une petite feuille sous le nom de \u00ab\u00a0Tom Pouce, Journal politique et administratif du Canton de Dour\u00a0\u00bb. Cette feuille sera, au d\u00e9part, publi\u00e9e une fois par mois avant de conna\u00eetre une fr\u00e9quence plus importante. Elle se veut ind\u00e9pendante et lib\u00e9rale en s\u2019inscrivant dans la lign\u00e9e de \u00ab\u00a0L\u2019\u00e9quitable\u00a0\u00bb. Ainsi, elle s\u2019int\u00e9resse particuli\u00e8rement aux faits locaux en lien avec Dour et la r\u00e9gion. Le 3 novembre 1867, Jules Bailly sort le dernier num\u00e9ro de cette feuille. En effet, celle-ci cesse de para\u00eetre en raison de la cr\u00e9ation d\u2019un journal plus important, hebdomadaire et paraissant le dimanche\u00a0: \u00ab\u00a0La Libert\u00e9. Journal du couchant de Mons\u00a0\u00bb. Ce dernier, cr\u00e9\u00e9 \u00e9galement par Jules Bailly, affichait les couleurs politiques du lib\u00e9ralisme constitutionnel radical et avait pour fonction de combattre les injustices envers la classe ouvri\u00e8re. Par ailleurs, il convient d\u2019indiquer que ce journal cesse de para\u00eetre sous le nom \u00ab\u00a0La Libert\u00e9\u00a0\u00bb en janvier 1872, pour devenir \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0\u00bb.<\/p> Par la suite, Jules Bailly confie la direction de son entreprise \u00e0 Auguste Vaubert. Dans ce contexte, malgr\u00e9 le changement d\u2019imprimeur et d\u2019\u00e9diteur, \u00ab\u00a0L\u2019Indicateur\u00a0\u00bb restera sur ses positions politiques jusqu\u2019\u00e0 la mort de son fondateur. En effet, par la suite, ce journal adoptera des couleurs politiques plus neutres afin de s\u2019attirer une nouvelle client\u00e8le. Cependant, il est \u00e0 noter que cette nouvelle position politique ne fut pas appr\u00e9ci\u00e9e par tout le monde si bien que certaines personnes commenc\u00e8rent \u00e0 dire que le journal \u00e9tait soudoy\u00e9 par le parti catholique. Or, seul le journal fond\u00e9 par Amand Bauduin, \u00ab\u00a0L\u2019Echo du Canton de Dour\u00a0\u00bb, pouvait \u00eatre associ\u00e9 \u00e0 cette dimension politique \u00e0 cette \u00e9poque.<\/p> Par ailleurs, Auguste Vaubert assura l\u2019impression de plusieurs journaux et revues parmi ceux-ci on peut notamment citer, par exemple, \u00ab\u00a0Le Borinage Central\u00a0\u00bb, \u00ab\u00a0Le Libre Journal\u00a0\u00bb et \u00ab\u00a0Le Bulletin officiel de la F\u00e9d\u00e9ration m\u00e9dicale belge\u00a0\u00bb. Par la suite, Auguste Vaubert travailla \u00e9galement pour des \u00e9diteurs \u00e9trangers et il se verra confier des impressions \u00e0 destination des particuliers mais \u00e9galement l\u2019impression des \u00ab\u00a0Rapports sur l\u2019administration et la situation de la commune\u00a0\u00bb par la Commune de Dour.<\/p> Toutefois, soucieux d\u2019am\u00e9liorer l\u2019organisation et le fonctionnement de son imprimerie typographique afin de la rendre plus performante et comp\u00e9titive sur le march\u00e9, Auguste Vaubert d\u00e9cida d\u2019introduire non seulement le travail \u00e0 la pi\u00e8ce, mais aussi la main-d\u2019\u0153uvre f\u00e9minine. Cela provoqua deux gr\u00e8ves successives parmi les compositeurs typographes qu\u2019il employait. En effet, en juillet 1896, l\u2019introduction du travail \u00e0 la pi\u00e8ce et l\u2019instabilit\u00e9 des salaires qui lui \u00e9tait li\u00e9e provoqua une gr\u00e8ve dont les revendications ouvri\u00e8res bas\u00e9es sur une r\u00e9duction du nombre d\u2019heures de travail et une augmentation des salaires, \u00e9taient soutenues, d\u2019une part, par l\u2019Association typographique de Mons et des environs, et d\u2019autre part, par la F\u00e9d\u00e9ration typographique belge. Cette gr\u00e8ve poussa Vaubert \u00e0 ceder deux jours plus tard. En effet, ce dernier abandonna ce nouveau syst\u00e8me et il r\u00e9duisit le temps de travail journalier d\u2019une demi-heure tout en augmentant les salaires de 50 centimes. Cependant, par la suite, l\u2019imprimerie acquit de nouveaux mat\u00e9riels ce qui poussa Vaubert \u00e0 engager de la main-d\u2019\u0153uvre f\u00e9minine. Cela eut pour cons\u00e9quence que les ouvriers, craignant que leur propre salaire diminue, demand\u00e8rent \u00e0 Vaubert le renvoi de ces ouvri\u00e8res. Ce dernier ne c\u00e9da pas et le 10 ao\u00fbt 1896, les ouvriers repartirent en gr\u00e8ve. Toutefois, contrairement \u00e0 la gr\u00e8ve pr\u00e9c\u00e9dente, celle-ci ne d\u00e9boucha sur aucun accord entre les parties concern\u00e9es si bien que cela amena \u00e0 la cr\u00e9ation d\u2019un nouveau journal \u00e0 Dour \u00ab\u00a0L\u2019ind\u00e9pendant\u00a0\u00bb, le 24 octobre 1896, par un ouvrier, D\u00e9sir\u00e9 Chevalier, et ce afin de procurer du travail aux gr\u00e9vistes.<\/p> Ainsi, les \u00e9tablissements Bailly-Vaubert devinrent, par la suite, les assurances \u00ab\u00a0La Royale Belge\u00a0\u00bb.<\/p> Dans le cadre de l\u2019industrie typographique locale, il est int\u00e9ressant d\u2019indiquer qu\u2019il existe d\u2019autres journaux dourois parmi lesquels on peut citer\u00a0:<\/p> Ligne du temps\u00a0: <\/u><\/strong><\/span><\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t Cr\u00e9ation de l'imprimerie Jules Bailly<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t Lancement de la feuille \"Tom Pouce, Journal politique et administratif du Canton de Dour\"<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t Le journal \"La Libert\u00e9. Journal du couchant de Mons\" devient \"L'Indicateur\"<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t Jules Bailly confie la direction de son entreprise \u00e0 Auguste Vaubert<\/strong><\/span><\/p><\/div>\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/a>\t\t\t\t<\/div>\n\n\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t<\/h3>
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